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Pensée dominante...

A chaque fois que tu t'attaches à quelqu'un ou à quelque chose,
Tu te détaches un peu de toi-même.... 


Index des rubriques

Pensée de la semaine
Être réaliste, c'est préférer une réforme modeste, qui en permet une autre, à un miracle impossible.

Identité pseudo-virtuelle

Taille : 1m74

Poids : 69 kilos

Age : 31 ans

Signe zodiacal : Lion

Signe chinois : Tigre

Signe arabe : Masse de fer

Trait de caractère : Perséverance

Sentiment : Sincérité

Humour : Auto-dérision

Surnom : Taré, Double-tête, Yoda, Le Sage, Homère Simpson, l'Extraterrestre

Element : Feu

Couleur : Vert

Mot : Anagramme

Roman : Le portrait de Dorian Gray (Oscar Wilde)

Conte : Le petit poucet

Film : Usual Suspects

Musicien/Interprete : Freddie Mercury

Chanson : With or without you (U2)

Acteur : Robin Williams

Actrice : Marie-Josée Croze

Réalisateur : Akira Kurosawa

Jeu : échecs

Art : Littérature

Personnage : Gatsby

Rêve : Rêve éveillé

Prémonition : Protection

Epice : Cannelle

Animal : Grenouille

Arbre : Saule pleureur


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Ailleurs sur Joueb.com

Les pérégrinations d'un chinois en chine
Il y a une douzaine d'années déjà...
--> Je m'en irai pas...
Il était orphelin daus une société où la place du Père ne se remplace pas,
Il fut mon ami tout comme son Père fut l'ami du mien,
Il avait le regard d'un enfant plein d'innocence, le rire timide et désarmant tels celui d'un ange,
Il existait entre nous une douce émulation, durant toutes ses années où nous partageâmes la même vie et le même chemin de la connaissance,
Il était un adversaire coriace mais jamais méchant, je me souviens toujours de son regard furieux et son visage écarlate quand je lui passais devant, il savait toujours être bon perdant et me féliciter sincèrement,
Il était aussi malchanceux qu'un poissard à qui rien ne sourit mais pourtant il gardait son sourire tout le temps et tendait volontier l'autre joue en attendant,
Il était bien plus pur et droit que nous tous réunis et on ne le savait que trop bien nous tous qui n'étions pas encore finis,
Il échappa à son destin une première fois et lorsque je le mis en garde il me décocha un regard qu'on n'oublie pas,
Il me dit "Ne craint rien, les pires d'entre nous ne sont vont pas, alors c'est sûr, je resterai ici-bas", j'avais beau le mettre en garde, il n'écoutat rien, parfois la place d'un Père chez soi ne s'improvise pas, surtout lorsqu'on est juste post-adolescent,
Il avait tort et son destin le prouva, il perdit la vie à la fleur de l'âge, l'âge où tout est possible et où tout normalement vous souris,
Il y a une douzaine d'années tu nous as quitté et ton souvenir ne nous quittera pas,
Il est bien difficile de voir combien on n'est rien, surtout à un âge où l'on voit de ses propres yeux, que la seule chose qui ramène notre corps à la terre est un linceul blanc immaculé, qui nous réduit à si peu de choses dans la vie,
Il y a une douzaine d'années déjà tu la perdit, cette douleur que je ne voulais pas voir a mis plus d'un an à me rattraper, elle me submergea furieusement telle une vague courrant derrière moi. Jusqu'à aujourd'hui ça reste à jamais une cicatrice qui ne se ferme pas.
Parfois je me demande ce que tu aurais fais de ta vie, mais la réponse est cette absence qui n'en finit pas et ce sourire dans un rêve qui me dit qu'ainsi tu ne changeras pas,
Repose en paix très cher Ami, où que je sois je penserai à toi. Tu avais bien raison, tu ne t'en es jamais allé. Tu restes au fond de moi.
Ecrit par Mandala, le Lundi 18 Avril 2005, 09:21 dans la rubrique "Mes pensées".